Guillaume Hermitte est installé au cœur du quartier de l’Aligre, dans le XII^e,
Après des études de marketing, c’est vers le chocolat du commerce équitable qu’il s’oriente, et qu’il crée Puerto Cacao, avec un nouveau concept : le bar à chocolat, petite restauration autour du chocolat,

D’un style différent de nos dégustations habituelles, c’est le brunch Extrema qui nous est proposé sur une carte dont le papier est appelé Amazone paper,
Sur une coupelle en bambou, nous découvrons en « apéritif »deux bonbons

• un au lait caramel praliné aux noix, sa texture est croustillante, le sucre roux et la noix lui confèrent ce craquant, mais un peu trop sucré,
• un mendiant sur la base d’un chocolat à 70% d’origine du Pérou, avec un raisin, et du sésame, caramélisé,

La formule Extréma commence par une boisson fraîche au choix,

• world shake :orange, pamplemousse, banane, pomme, betterave
• tropical:orange, pomme, ananas, mangue, fruit de la passion

puis une boisson chaude au choix, et là le choix des chocolats chauds d’origine du Venezuela est varié et original :
parfumé à la cannelle, ou piment doux d’Espelette, ou à la réglisse, cardamome, ou gingembre, cumin, noix de muscade, menthe, hydromel, ou guarana amer.
Plusieurs sortes de confitures au chocolat accompagnent le pain, Les fruits sont cuits dans le sucre roux et le seul conservateur est le citron,
Elles se déclinent à l’ananas, et la texture est plus granuleuse, que celle à la banane qui est plus foncée mais plus lisse .

Ensuite le plat au choix est soit végétarien, œufs et salades assaisonnées au balsamique orange, cacao, ou plat de charcuterie .
Pour finir ce copieux brunch, Guillaume nous fait choisir entre un moelleux ou brownie, accompagné d’une glace chocolat noir, ou tonka, pistache ou vanille ou un sorbet cassis, framboise, ou abricot,

Guillaume a la gentillesse de nous accorder une réduction de 15 % pour les achats que nous faisons avant de le quitter pour remporter avec nous un peu de son concept bio équitable.
Une foule nombreuse attend nos places et c’est sur un goût d’y revenir que nous nous séparons pour les vacances,